Lundi, mon Maître m'a offert une séance au cours de laquelle il m'a, entre autres, posé des aiguilles.
Comme à mon habitude je lui ai écrit mon rapport après la séance. Il a cependant voulu que j'écrive publiquement mon ressenti sur les aiguilles.
Mon Maître s'est longuement occupé de moi avec son martinet, fesses, dos, bras... D'un mouvement léger, essentiellement pour la symbolique de ce geste, les lanières se sont écrasées à plusieurs reprises sur mon visage... sentir l'impact de cuir puis son odeur lorsqu'elles glissèrent vers le bas de mon visage avant de recommencer. C’est un geste qui me surprend à chaque fois mais j'apprends à l'accepter
Mon Maître m'a ensuite demandé de m'étendre à plat ventre sur le lit. Mes poignets étant attachés l'un à l'autre depuis le début de la séance j'ai essayé de prendre la position qu'il souhaitait. Après s'être absenté un moment, il revint s'asseoir près de moi et pulvérisa de l'antiseptique sur mon dos. Bien qu'il soit indispensable, j'ai horreur de ce sentir ce liquide froid sur ma peau.
Je savais désormais ce qui m'attendait. La tête sur l'oreiller j'ai attendu la première aiguille en me disant que mon Maître les manipulait habituellement plutôt bien et que ça ne ferait pas mal.
Pas de chance, la première aiguille peine à rentrer, je gigote, me dandine tout en criant, ce qui n'aide pas mon Maître qui place cette aiguille en plusieurs fois.
La deuxième transperce ma peau sans douleur, je retrouve ma place. Je suis sereine, incroyablement sereine. Mon Maître continue sa pose, je me sens détendue comme si j'étais installée pour un massage. Je suis juste bien et j'aime ce moment où il s'occupe de moi.
Certaines me font grimacer, parfois crier mais elles ne me font pas peur (je ne peux pas en dire autant lorsqu'il perce mes seins ou mon intimité), il en posera une vingtaine. Les plus sensibles sont celles posées en croix sur les côtés en bas de mon dos.
Il me transforme, entrelace le satin à la manière d'un laçage de corset. Oh que j'aime me voir ainsi parée. Je me redresse, admire son travail dans le miroir en voyant combien nous avons déjà progressé.
A sa demande, je me place sur lui à califourchon pour lui donner du plaisir.
Il tend les bras comme s'il allait m'enlacer mais il n'en fait rien. Il appuie ses mains dans mon dos, à divers endroits, sur les aiguilles pour que je les sente bien. Je n'étais pas préparée à ça, il ne l'a jamais fait auparavant, je sens les aiguilles me piquer davantage mais elles sont loin d'être insupportables, au contraire, j'aime cette sensation d’appartenance, être à Lui et le laisser faire ce qu'il veut de moi.
Ma bouche sera ensuite maintenue grande ouverte avec l'écarteur buccal. Il me demanda de sortir la langue. Petit bout de chair dépassant timidement en se demandant ce qu'il allait lui arriver, mon bandeau ne me permit pas d'anticiper. La pince à sein japonaise s'est refermée sur celle-ci tel un étau. Les premières secondes ont été vives mais j'étais tout simplement à lui, et de moi il peut faire ce qu'il veut alors même quand il a tiré sur la pince (qui serre alors davantage), je l'ai accepté, m'imaginant petite chienne salivant sur son Maître.
Il ôta vers la fin de séance toutes ls aiguilles sauf les quatre placées sur les côtés et me demanda de m'allonger sur le dos me faisant sentir le poids de mon corps agrémenté de ses coups de reins sur ces fines tiges qui me font saignotter.
J'ai aimé être à Lui, à chaque moment.
Je Vous remercie pour la séance que Vous m'avez offerte.
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Comme à mon habitude je lui ai écrit mon rapport après la séance. Il a cependant voulu que j'écrive publiquement mon ressenti sur les aiguilles.
Mon Maître s'est longuement occupé de moi avec son martinet, fesses, dos, bras... D'un mouvement léger, essentiellement pour la symbolique de ce geste, les lanières se sont écrasées à plusieurs reprises sur mon visage... sentir l'impact de cuir puis son odeur lorsqu'elles glissèrent vers le bas de mon visage avant de recommencer. C’est un geste qui me surprend à chaque fois mais j'apprends à l'accepter
Mon Maître m'a ensuite demandé de m'étendre à plat ventre sur le lit. Mes poignets étant attachés l'un à l'autre depuis le début de la séance j'ai essayé de prendre la position qu'il souhaitait. Après s'être absenté un moment, il revint s'asseoir près de moi et pulvérisa de l'antiseptique sur mon dos. Bien qu'il soit indispensable, j'ai horreur de ce sentir ce liquide froid sur ma peau.
Je savais désormais ce qui m'attendait. La tête sur l'oreiller j'ai attendu la première aiguille en me disant que mon Maître les manipulait habituellement plutôt bien et que ça ne ferait pas mal.
Pas de chance, la première aiguille peine à rentrer, je gigote, me dandine tout en criant, ce qui n'aide pas mon Maître qui place cette aiguille en plusieurs fois.
La deuxième transperce ma peau sans douleur, je retrouve ma place. Je suis sereine, incroyablement sereine. Mon Maître continue sa pose, je me sens détendue comme si j'étais installée pour un massage. Je suis juste bien et j'aime ce moment où il s'occupe de moi.
Certaines me font grimacer, parfois crier mais elles ne me font pas peur (je ne peux pas en dire autant lorsqu'il perce mes seins ou mon intimité), il en posera une vingtaine. Les plus sensibles sont celles posées en croix sur les côtés en bas de mon dos.
Il me transforme, entrelace le satin à la manière d'un laçage de corset. Oh que j'aime me voir ainsi parée. Je me redresse, admire son travail dans le miroir en voyant combien nous avons déjà progressé.
A sa demande, je me place sur lui à califourchon pour lui donner du plaisir.
Il tend les bras comme s'il allait m'enlacer mais il n'en fait rien. Il appuie ses mains dans mon dos, à divers endroits, sur les aiguilles pour que je les sente bien. Je n'étais pas préparée à ça, il ne l'a jamais fait auparavant, je sens les aiguilles me piquer davantage mais elles sont loin d'être insupportables, au contraire, j'aime cette sensation d’appartenance, être à Lui et le laisser faire ce qu'il veut de moi.
Ma bouche sera ensuite maintenue grande ouverte avec l'écarteur buccal. Il me demanda de sortir la langue. Petit bout de chair dépassant timidement en se demandant ce qu'il allait lui arriver, mon bandeau ne me permit pas d'anticiper. La pince à sein japonaise s'est refermée sur celle-ci tel un étau. Les premières secondes ont été vives mais j'étais tout simplement à lui, et de moi il peut faire ce qu'il veut alors même quand il a tiré sur la pince (qui serre alors davantage), je l'ai accepté, m'imaginant petite chienne salivant sur son Maître.
Il ôta vers la fin de séance toutes ls aiguilles sauf les quatre placées sur les côtés et me demanda de m'allonger sur le dos me faisant sentir le poids de mon corps agrémenté de ses coups de reins sur ces fines tiges qui me font saignotter.
J'ai aimé être à Lui, à chaque moment.
Je Vous remercie pour la séance que Vous m'avez offerte.
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Mmmm... Comme je te l'ai dit sur Fet, je suis admirative ma belle ! J'ai lu le récit sur le Cercle de Janice, quelle belle séance. Et cette phrase, simplement magnifique, "j'aime être à Lui, à chaque moment", j'ai fermé les yeux et souri en la lisant, un sentiment de plénitude et de bien-être par procuration m'envahissant.
RépondreSupprimerMes sincères respects à Vous, Maître Phénix, pour les beaux récits que Vous inspirez à Votre soumise.
Et un doux baiser pour toi ma belle.
Sincèrement,
élerinna, kajira d'Elendil
Merci ma belle. Je suis heureuse de partager mes émotions avec toi.
SupprimerOh que oui j'aime être à lui même dans les moments plus difficiles, peut être aussi nécessaires à notre équilibre.
Je pense bien à toi, à vous,
Mes respects à Maître Elendil,
Je t'embrasse bien fort,
Anaëlle
Oh !!! Je ne pense pas un jour réussir à supporter les aiguilles ! Et pourtant je trouve cela superbe. Mais les marques que cela doit engendrer doivent être difficiles à masquer.
RépondreSupprimerAnaëlle, te lire est un plaisir.
Sakura
Soumise de Maître Katsuo.
http://soumise-sakura.com
Je ne pensais pas être un jour prête à aller jusque là, c’est d'abord l'aspect esthétique qui m'a attirée et permis de franchir le pas, j'aime beaucoup le laçage à la façon d'un corset.
SupprimerMon Maître y a rapidement pris goût, quelques aiguilles dans le dos, quelques unes sur les seins ou encore sur les lèvres (c’est de loin ce qu'il y a de plus douloureux). Lors de notre dernière séance il a recouvert paré mes seins de 32 aiguilles.
Les marques sont parfois totalement invisibles (comme une prise de sang) ou laissent parfois de petites marques et de légers hématomes.
Il existe différentes tailles et diamètre d'aiguilles pour se familiariser avec elles.
A bientôt,
Anaëlle